Une messe communautaire sous le signe de la joie et de la famille

 

Une messe concélébrée, en unité pastorale, en préfiguration de celle du départ, dimanche prochain, à Sainte Thérèse

Avant-dernière messe communautaire pour le curé de Dison, Bernard Pönsgen, et son vicaire, Ponpon, ce dimanche, à Saint-Fiacre: si tous deux seront fêtés dimanche prochain, 7 janvier, à Sainte-Thérèse, à 11 heures, la célébration de la messe en unité pastorale, par Bernard, Ponpon, et les diacres Bernard Boudron et Jean-Luc Alexandre, ce 31 décembre, a été d'abord placée par Bernard sous le signe de la joie, avec une référence au poème écrit en 1785 par Friedriech Schiller, mis ensuite en musique par Beethoven avec un certain succès, puisque l'Ode à la joie est devenue l'hymne européen.

Mais retour à Saint-Fiacre, ce dimanche 31 décembre était aussi placé sous le signe de la Sainte Famille, et de la famille en général. Une famille chrétienne disonaise (cf. l'homélie de Bernard Pönsgen ci-dessous) qui se prépare à s'agrandir, avec le prochain baptême de Laura, 23 ans, dans l'UP du Sacré-Coeur, lors de la prochaine fête de Pâques.

L'occasion pour le curé de Dison de s'interroger sur le suivi des différents baptêmes de catéchumènes, qui se sont produits au sein des diverses paroisses de l'unité pastorale: qu'en est-il resté? s'est-il interrogé. Et de suggérer des «retrouvailles», en concédant le caractère «paradoxal» de sa suggestion alors qu'il se prépare «à quitter l'unité pastorale»

Ce départ, ce sera donc pour dimanche prochain, à Saint-Thérèse. Cela n'a pas empêché Bernard Pönsgen, en présentant ses vœux en fin de messe, de déjà adresser de nombreux mercis, à son vicaire, à ses diacres, aux équipes pastorales, à celles et ceux qu'il a rencontrés au cours de ses années passées à Dison. Un «tour de chauffe» en quelque sorte?

HOMELIE POUR LA FÊTE DE LA SAINTE FAMILLE ET L'ACCUEIL DE LA CATECHUMENE LAURA

 


La fête d’aujourd’hui nous incite à regarder nos familles d’un autre œil que d’un œil purement humain :

Les exemples d’Abraham, de Syméon et Anne, de Joseph et Marie nous montrent que par-delà les liens du sang, il y a le lien de la Foi.

Ce lien, pour tous les auteurs inspirés de la Bible, est essentiel. Jésus lui-même s’attache à le rappeler souvent à ses disciples : « Qui est ma mère ? Et qui sont mes frères ? Celui qui fait la volonté de Dieu est ma mère, mon frère, ma sœur. » (Mc 3,33-35)

 

…On souhaiterait évidemment que nos familles, toutes nos familles, deviennent des lieux où les liens tissés par le partage d'une même foi soient perçus comme des liens vitaux. Mais nous le savons bien, c’est loin d’être évident !

 

Ce ne l’a jamais été d’ailleurs : Il faut oublier l’image idéalisée de la famille chrétienne que l’Eglise a voulu imposer comme modèle à des générations de fidèles, alors que cela correspondait plus à un état de fait sociologique qu’à autre chose : Sauf exception, la foi partagée en famille était plus de l’ordre de l’accomplissement d’un certain nombre de pratiques plus ou moins extérieures, dans un cadre où aller à la messe, dire ses prières, être obéissant à ses parents et aux représentants de l’Eglise, allait de soi. Cela n’impliquait pas pour autant le partage en profondeur d’une foi vivante et d’une conversion constante au message évangélique. On était plutôt dans la reproduction d’un modèle religieux que dans un vrai partage spirituel en famille.

 

Pire, la famille pouvait et peut toujours d’ailleurs être le lieu de la confrontation parfois dure et violente entre les membres sur base de leurs choix religieux ou spirituels qui ne s’accordent pas. Jésus avait prévenu : « Pensez-vous que je sois venu mettre la paix sur la terre ? Non, je vous le dis, mais bien plutôt la division. Car désormais cinq personnes de la même famille seront divisées : trois contre deux et deux contre trois ; ils se diviseront : le père contre le fils et le fils contre le père, la mère contre la fille et la fille contre la mère, la belle-mère contre la belle-fille et la belle-fille contre la belle-mère. » (Lc 12,51-53)

 

Pour éviter cette confrontation, beaucoup de familles font l’impasse sur les questions qui touchent à la Foi : on n’en parle pas, tout simplement. C’est bien plus commode et on évite ainsi de perturber par des discussions houleuses les fêtes familiales (Noël, Pâques…). Les grands-parents le savent, et souvent évitent soigneusement le sujet. Il faut aussi ajouter qu’il y a chez la plupart, surtout chez les jeunes parents, une bonne dose d’indifférence et parfois de rejet – rejet qui a pour origine justement le caractère ‘obligatoire’ des modèles religieux de jadis.

 

Tout ceci parce que, du temps de Jésus comme du nôtre, la Foi, frères et sœurs, relève d’un CHOIX PERSONNEL. On ne peut pas enfermer quelqu’un dans un moule religieux ni violenter sa conscience.

 

Qu’on veuille témoigner et partager ses convictions intimes et son expérience de croyant, c’est très bien ! Le Christ le demande d’ailleurs lorsqu’il envoie ses disciples évangéliser le monde entier. Mais le respect de la conscience personnelle est absolument indispensable -cela n’a malheureusement pas toujours été le cas dans l’histoire, et quand on pense qu’il a fallu attendre le Concile Vatican II pour que l’Eglise reconnaisse officiellement la liberté de conscience… !

 

Bon, alors aujourd’hui on a Laura, une jeune de chez nous qui demande le baptême. Elle demande le baptême parce qu’elle croit et qu’elle veut croire en Dieu, en la vie qu’Il donne, et personne ne l’a influencée. C’est son CHOIX.

 

Laura, en demandant le baptême chrétien, tu ne renies pas ta famille, tu ne la quittes pas, mais tu intègres une autre famille plus large, celle des amis de Dieu et des disciples de Jésus Christ. Cette famille t’accueille aujourd’hui. Une famille qui n’est pas construite sur les liens du sang, mais sur le lien de la Foi.

 

Tu verras que cette famille a plein de visages différents, elle est de tous les continents et de toutes les couleurs, les cultures, les langues… et comme toutes les familles humaines, elle a des qualités et des défauts car elle est composée d’hommes et de femmes comme toi et moi. Pas des anges !

Mais ce qui la rend différente des autres familles, c’est qu’elle a Jésus au centre.

Comme la famille de Nazareth : Marie, Joseph, et Jésus au centre. Et un même Père, celui qui est aux cieux.

Du coup, on est tous des frères et des sœurs. Des frères parfois un peu râleurs, des sœurs parfois un peu olé olé, mais des sœurs et des frères qui s’aiment, qui cherchent à s’aimer vraiment !

 

Oui, Laura, c’est cette famille-là que tu intègres aujourd’hui. Tu y auras ta place. Elle a aussi un autre nom : la Communauté. Je suis fier et heureux de t’y accueillir, et je pense que nous le sommes tous, n’est-ce pas ? Dites-le, montrez-le en applaudissant notre candidate !

 

 

Laura, comme Abraham jadis, tu as entendu dans ton cœur l’appel du Seigneur. Au début, peut-être simple curiosité, envie d’en savoir plus, envie d’être de quelque part, de te donner des racines. Des racines et des ailes ! Et puis, le Seigneur t’a séduite, saisie au cœur… Tu vas le suivre, maintenant tu sais déjà ce que cela signifie, être chrétien, être disciple… C’est le plus beau chemin qui soit, même s’il n’est pas toujours facile, c’est un chemin qui nous révèle notre beauté propre, notre humanité véritable telle que Dieu la voit et la veut : créé à son image, capable de croire, d’aimer, d’espérer !

 

Tes motivations, tu les as certainement partagées avec tes accompagnateurs Suzanne et René. Ils sont émerveillés eux aussi du chemin que tu suis, que tu as déjà parcouru. Ils ont découvert aussi quelle belle, bonne personne tu es. Un peu timide au début, puis tu t’es engagée résolument dans la démarche, chose qui n’est pas facile car tu es toujours aux études, et tu travailles en même temps pour subvenir à tes besoins. Tu es soutenue aussi par ton copain Ruben, un chic garçon.

 

 

Le premier dimanche du carême 2024, tu recevras l’appel décisif de notre évêque, à la cathédrale de Liège. Tu te prépareras aussi par une retraite avec tous les autres catéchumènes, qui eux aussi ont des profils différents et des parcours de vie très variés…

Tu recevras alors enfin le baptême au cours de la Vigile Pascale, ici dans la Communauté rassemblée pour fêter la Pâque, la Résurrection du Christ.

Tu seras entourée de tes parrain-marraine.s , tes accompagnateurs, ta famille et de tous les sœurs et frères de la Communauté du Sacré-Cœur.

J’invite tous ceux qui le peuvent à y participer pour manifester à Laura qu’elle est importante pour la Communauté de l’Eglise, que nous sommes fiers d’elle et que nous voulons continuer à la soutenir !

 

En effet, comme le disait Martine Lewis, membre du Vicariat Annoncer l’Evangile à la sortie de la cathédrale lors des baptêmes d’adultes à la vigile de l’an dernier : « Nous pouvons témoigner que le baptême de quelques-uns fait la joie de tous, et que l’Eglise entière est impactée par l’intégration de nouveaux membres en son sein. » Elle ajoutait : « Puissent nos communautés saisir la chance d’accueillir un catéchumène, de cheminer ensemble avec lui et de vivre ces rites baptismaux sans abandonner ce nouveau chrétien – cette nouvelle chrétienne au sortir de la Vigile pascale… »

 

C’est là que je me sens interpellé, frères et sœurs. On a eu Odette ; on a eu Yannick ; on a eu Mélyssa… Qu’avons-nous fait pour garder le contact après la célébration ? Je sais que ce n’est pas facile, et on a tendance à penser que c’est à eux d’aller vers nous. On a bien tenté quelques contacts, mais nos communautés se dispersent si facilement… chacun a sa vie, comme on dit. C’est dommage. Je rêve qu’on organise des retrouvailles ; c’est évidemment malin de ma part de dire cela au moment où je quitte l’UP… !

 

Frères et sœurs, l’exemple de Laura nous stimule ! Alors que nous voyons aujourd’hui l’avenir de l’Eglise s’assombrir… que nos églises, si elles ne se vident de leurs paroissiens, elles s’écroulent quelquefois par manque de moyens… que peut-être nous avons nous-mêmes du mal à continuer à croire dans ce qui nous avait été inculqué dans notre jeunesse mais que nous n’avons pas cherché à entretenir, à mettre à jour… ET BIEN, aujourd’hui, GRÂCE à LA FOI, comme Abraham, comme Sara, comme le vieillard Syméon et la prophétesse Anne, comme Marie et Joseph, une jeune fille de 23 ans s’est mise en route – c’est ce fameux déplacement intérieur qu’on appelle la foi – et elle nous dit, tous les catéchumènes nous disent (enfin, c’est comme cela que je l’entend) : « Mais enfin, vous avez un trésor, vous les chrétiens ! Et vous ne le savez pas ! Ce n’est pas terminé... rien n’est terminé. Commencez donc, ou recommencez à vivre de l’Evangile ! »   

 

Comme dit encore une personne très engagée dans l’évangélisation dans le diocèse d’Angers en France : « Je voudrais inviter ceux qui connaissent un petit découragement dans leur mission à passer un moment au catéchuménat pour retrouver la joie de l’évangélisation et voir l’Esprit Saint à l’œuvre. J’ai d’ailleurs une pensée pleine de gratitude pour ces catéchumènes et néophytes : ils font de nous des témoins du mystère, des témoins de Dieu qui se fait proche de tout homme, de toute femme. »

 

Laura, avec toi une page neuve commence pour notre Communauté. Je t’en remercie et je bénis le Seigneur ! Je lui demande de te bénir : qu’il t’assiste de son Esprit de joie et de force pour parcourir le beau chemin qui est le tien !

 

Viens, approche-toi.



 

(Bénédiction avec imposition des mains, remise de la Bible)

NEWS - HORAIRES DES MESSES

 


Message aux frères et soeurs de l’UP Sacré-Coeur (Dison-Andrimont) à l’occasion de l’installation et début de pastorale du père Freddy MATONGO NDOY, omi commeAdministrateur de l’UP.

 

Chers frères et soeurs,

Depuis quelques temps, j’ai été appelé par notre évêque à cheminer avec vous comme pasteur de la communauté ecclésiale qui vit à l’UP Sacré-Coeur de Dison-Andrimont. J’ai accepté. Pour cette raison, je vous adresse ces petits mots pour vous saluer. Les aléas de l’histoire ont fait que nous commencions ce pèlerinage avec vous en ce temps de Noël et plus encore le jour de l’Epiphanie du Seigneur. Rien n’est laissé au hasard, Dieu NOUS fait signe : « Nous avons vu son étoile et nous sommes venus pour l’adorer », Mt 2, 2 En effet, une étoile! un signe! 


Que ce pèlerinage commence le jour de l’Epiphanie, appelle à une démarche synodale, c’est-à-dire cheminer ensemble, discerner ensemble les signes et les messages que Dieu NOUS donne. Chacun-e a dû voir un signe et s’est mis en mouvement; chacun-e a dû, dans son mouvement faire une et/ou des rencontres qui enrichissent et favorisent notre pèlerinage. Comme les rois mages, NOUS voyons et NOUS venons pour l’adorer. Chacun-e de NOUS porte ainsi un coffret plein de toutes les grâces reçues qui sont nécessaire pour que nous fassions ce chemin ensemble … C’est l’occasion de porter notre coffret, d’ouvrir notre charisme propre et de rester attentif aux charismes des uns et des autres avec qui nous PARTICIPONS à la MISSION de Jésus en COMMUNION avec tous nos frères et soeurs


C’est ici aussi le lieu de remercier fraternellement Bernard et Ponpon qui, sous la mouvance de signe de Dieu, acceptent d’aller en compagnies des autres frères et soeurs pour continuer de marcher ensemble vers celui qui NOUS appelle tous à sa rencontre. Bernard et Ponpon, merci! Soyez rassurés de nos prières et surtout n’oubliez pas que les portes de notre UP vous sont toujours ouvertes. Nous sommes toujours ensemble!

Par ailleurs, quand l’étoile disparait à la hauteur de Jérusalem, Dieu met sur le chemin des pèlerins un autre signe. Aussi obscure qu’il puisse paraitre, il permet aux rois mages de faire un pas de l’avant. Hérode, c’est un félin, un rusé … mais il a des sages qui connaissent et qui ont lu … Oui, ils connaissent où est né le nouveau Roi; oui, ils ont lu ce qui a été annoncé; oui, ils le font savoir à Hérode et à ses hôtes en quêtes de la Vérité. Ils sont sûrs que l’étoile qu’ils ont vue les a conduit jusque là, mais la turbulence ou la coupole du palais hérodien est telle qu’il est difficile de percevoir encore l’étoile, ils font recours à la connaissance, un autre signe, sur le chemin du pèlerinage. Nous sommes invités à l’ESPERANCE en mobilisant nos compétences et nos atouts pour aller plus loin même quand le chemin semble s’obscurcir.


Nous nous demandons, peut-être, pourquoi Hérode et ses sages, connaissant les écritures, ne se mettent-ils pas en chemin avec les autres rois mages ? Il y a de la place pour chacun-e !!! La connaissance seule ne suffit pas, il nous faut aussi la FOI en ce nouveau Roi qui vient de naître et qui nous appelle à lui. Dieu nous fais signe, il est nécessaire de vivre la synodalité dans la foi en Jésus manifesté dans sa chair. L’engagement dans la foi à la suite du Christ se fait dans la liberté. Nous qui avons vu son signe, nous espérons et nous croyons en Lui, c’est pourquoi nous venons pour l’adorer. Rassurez-vous, les trois roi mages ont vu, chacun, la même étoile mais à partir de chez eux. Puisqu’ils ont 
compris et ont cru, ils ont pris la route, NOUS aussi! NOTRE foi nous fait découvrir la centralité du Christ dans notre marche ensemble. Dans l’Espérance, notre rencontre avec l’Enfant de la crèche, nous ouvre les nouveaux chemins éclairés par notre Foi; car, après avoir adoré, avertis en songes, les mages retournèrent chez eux par un autre chemin, ils repassent plus chez Hérode … la rencontre avec Jésus manifesté dans la chair, nous transforme, change nos chemins.

Dans l’espoir de vous rencontrer



très bientôt, Bien à vous,

Freddy Matongo Ndoy, omi Votre pasteur et frère,

En Jésus-Christ et Marie Immaculée +32465666195 // +32484492132



NEWS

Notre feuille de "news" (annonces paroissiales) 
est désormais mensuelle !
Vous pouvez la consulter ou la télécharger (en pdf) 
en cliquant sur le lien ci-dessous :



En vous souhaitant personnellement à chacun.e une sainte fête de Noël et une année 2024 avec la grâce du Seigneur, je dis moi aussi bienvenue au Père Freddy et vous bénis tous.

Mes dernières homélies de ce temps d'Avent et de Noël sont publiées sous le lien :  

https://les-homelies-du-padre.blogspot.com/

abbé Bernard

UNE VEILLE D'AVENT INTERGENERATIONNELLE à STE THERESE



























LA FLAMME DE LA PAIX

 Cette année encore a eu lieu la transmission de la "Flamme de la Paix de Bethléem" à l'église Saint-Remacle de Verviers pour notre Doyenné. Une tradition qui prenait un sens encore plus profond et interpellant cette année vu le contexte à Gaza et en Israël, en Ukraine... 



Explication (vidéo):

















Une cabane en palettes de bois avait été réalisée devant le choeur, avec pour la décorer des "tuiles" ou "briques" en carton que les résidents des maisons de retraite de tout le doyenné avaient illustrées en y inscrivant une prière, un souhait, une pensée ou un dessin en rapport avec la Paix. Beau résultat !   

De nombreuses familles composaient l'assemblée, et ont vécu dette célébration dans un climat à la fois recueilli et joyeux. Que la flamme de la paix se répande sur toute la terre ! 











Prions pour la Terre Sainte : vidéo ci-dessous







PHOTOS DE NOS CRECHES - MESSE NOËL COUQUEMONT

 QUELQUES-UNES DE NOS CRECHES DANS LES EGLISES DE NOTRE UNITE DU SACRE-COEUR DE DISON ANDRIMONT :

Cette année, le thème proposé par Action Vivre Ensemble et repris par l'équipe relais de Mont-Dison qui l'a préparé pour toutes nos communautés, est : "Chaque personne a droit à un logement digne". Pour l'illustrer, beaucoup ont choisi de mettre une tente (comme celle des sans-abri) dans leur église... Cela nous rappelle aussi que le Fils de Dieu, à Bethléem, n'a pas eu de toit pour naître, mais une pauvre étable.

























 ET DES SOUVENIRS DE LA "MESSE DE NOËL" AU COUQUEMONT : 

Merci aux musiciens, aux bénévoles, au personnel et aux enfants de l'école St Fiacre pour leur participation !