NOUVELLES DE LA COMMUNAUTE

 Le W-E prochain: Fête de la SAINTE TRINITÉ

Samedi 3 juin :       17h, St Roch

                               18h, St Jean-Baptiste (+ liturgie des enfants)

Dimanche 4 juin :    9h30, St Fiacre 

                               10h45, St Laurent !

 

DÉCÈS :

 

Nous avons célébré les funérailles cette semaine :  

-     à St Laurent, de Monsieur Pierre STOFFELS, époux de Mme  Karin SCHUMACHER (+ 66 ans)

 

COLLECTES :

 

-Le week-end prochain, 3 et 4 juin, Collecte par enveloppes pour le Triduum des malades dans toutes les églises (voir info plus bas). Merci de votre geste de partage qui permet à des personnes moins favorisées de participer au pèlerinage !

 

 

TRIDUUM À BANNEUX:

Le pèlerinage de l’arrondissement de Verviers (« Triduum des Malades ») aura lieu cette année du 6 au 10 juillet ; il y a également possibilité de faire un pèlerinage d’un jour, le samedi 8 juillet. Thème : « Marie, conduis-nous à Jésus ». Tous renseignements sur les dépliants à l’entrée et chez Mme Königs. Voir également sous cet article !

 

 

À L’AGENDA :


-     Mardi 30 mai : 9h, messe à la chapelle de St Fiacre suivie de l’adoration.

 

-     Mercredi 31 mai : 19h30 au Séminaire de Liège, soirée d’information pour les prochaines Journées Mondiales de la Jeunesse à Lisbonne (3 jeunes de notre UP et une religieuse y participent)

 


-     Dimanche 4 juin : à 14h à l’école St-Fiacre de Dison, spectacle en forme de comédie musicale et créé par les élèves : « Au creux de mon arbre ». Un beau message de bonheur ! Entrée gratuite et ouverte à tous ; des affichettes sont sur les présentoirs.

 

 

JOURNEE DES MARTYRS DE L'AMERIQUE LATINE

 Journée des martyrs de l'Amérique latine

Soeur Suzanne Labelle, m.i.c., se recueille dans une chapelle de Cochabamba, en Bolivie, dédiée aux martyrs de l'Amérique latine.

Chères Amies et chers Amis,
Le dimanche 18 juin aura lieu à Banneux "La Journée des martyrs de l'Amérique latine".
La Radio Catholique Francophone (RCF-Liège) diffusera l'information.C'est une initiative d'un groupe d'amis ayant été missionnaires en Amérique latine en lien avec leur évêque Mgr Jean-Pierre Delville.
Ils souhaitent qu'à Banneux, où la Vierge des Pauvres est venue pour toutes les Nations, se rencontrent des familles venant des pays d'Amérique latine.
- À 14h30une Eucharistie sera célébrée dans la chapelle Saint-François en mémoire des nombreux martyrs d'Amérique latine. 
       Elle sera célébrée en français, espagnol et portugais et présidée par Mgr Eugène Rixen, évêque émérite de Goiás, au Brésil.
- À 15h45, les participants ayant apporté un casse-croûte à partager, se répartissent par petits groupes pour se connaître et fraterniser.  
Voulez-vous nous aider à faire connaître largement cet événement aux familles latino-américaines que vous connaissez ?

Déjà nous vous remercions des démarches d'invitations faites dans les périphéries.

De tout coeur, merci de votre aide précieuse.
Portons ces familles dans notre prière.
Avec elles, vivons en solidarité.
Pierre Vandenberg - Tél. 0477 37 88 16    E-mail : pvandenberg37@gmail.com
Paul Wafflard - Tél. 04 355 14 88   E-mail : paulwafflard1@gmail.com



INVITATION JUBILE ALAIN SCHLIM




LIEN (message d'Alain) : https://upastorale-sacrecoeurdison.blogspot.com/p/bonjour-vous-parents-amies-anciens.html

SUITE DE LA REFLEXION EN U.P. SUR "LA RENCONTRE"

Vous souvenez-vous en ? 

Le dimanche 30 avril dernier qui était un 5ème dimanche, nous avions vécu une célebration en Unité pastorale sur le thème de "La Rencontre" - un article sur ce blog en avait fait un petit compte-rendu.

Au cours de cette célébration, il était demandé aux paroissiens de répondre à 3 questions, et d'écrire leurs réponses sur un encart jaune qui serait dépouillé plus tard par l'équipe pastorale ; ceci en vue de mettre des jalons pour un éventuel futur "projet pastoral d'U.P."



Les questions posées étaient celles-ci :

-Je note ici 1,2 ou 3 idées pour vivre plus pleinement la rencontre personnellement et/ou avec la communauté, et que je m'engage à vivre.

-Quel projet suggéreriez-vous pour nous "mettre en route" comme Marie, au niveau de l'Unité pastorale?

-Avez-vous apprécié cette rencontre d'aujourd'hui?


Nous avons dépouillé toutes les réponses, en voici la synthèse.

=>Il est possible que l'on s'en serve lors d'un prochain CUP (Conseil d'Unité Pastorale) :

  Suivre le lien : https://upastorale-sacrecoeurdison.blogspot.com/p/la-rencontre-synthese-des-reponses.html


Que vont devenir nos églises?

 Le phénomène n'est propre ni à notre unité pastorale, ni à la religion catholique (cf. un précédent billet sur la journée de l'unité des chrétiens): l'assistance dans nos églises se réduit de plus en plus, pour devenir, çà et là, confidentielle. Certaines de nos églises se dégradent par ailleurs petit à petit. La question se pose donc: une «rationalisation» du nombre d'églises ne s'imposerait-elle pas? «Lorsque nous ouvrons un "brain storming" avec un bourgmestre à ce propos, il est souvent question de démolir l'une ou l'autre église» explique Éric De Beukelaer, le vicaire général du diocèse de Liège. «Mais quand nous faisons le tour des églises de la commune, en demandant laquelle pourrait disparaître, souvent, aucune n'est désignée. Car il sait que telle ou telle population est attachée à "son" église, même si elle est peu fréquentée».

Les évêques de Belgique ont pourtant réfléchi à la question. Et, à Liège, un document intitulé «Objectif 2020-Directoire diocésain pour la gestion du temporel des cultes», édité il y a cinq ou six ans, reprend largement leurs conclusions. La couverture du fascicule montre un nouveau clocher hissé par une énorme grue au-dessus d'une église. 

Une église (ici, saint Fiacre, à Dison) est «aussi un repère architectural»
«Leur position est qu'il n'y a pas de tabou, mais qu'une église est plus qu'un lieu où on célèbre la messe. C'est d'abord un lieu chargé d'histoire et de mémoire, même pour des gens qui ne sont pas catholiques», explique Éric De Beukelaer. «C'est aussi un repère architectural ou autre. Il convient donc de bien réfléchir avant de décider. Le texte est aussi un plaidoyer pour que les églises restent ouvertes, car une église fermée est une église qui s'évanouit. Les églises n'appartiennent pas aux pratiquants: elles appartiennent à la communauté. D'ailleurs, quand on est à l'étranger, on visite des églises, et si elles sont fermées, on est déçu! Ce n'est pas simple, je le sais, mais on peut pour pas cher acheter des petites caméras de surveillance, ou des lampes avec détecteurs de présence qui lancent en même temps de la musique. Et dans certains endroits, il existe un tour de rôle entre personnes souvent retraitées du quartier, qui, chacun un jour par semaine, ont la clé de l'église et y passent trois ou quatre fois la journée».

«Définir une ou des églises "centrales"»

Mais au-delà de ces principes généraux? «On essaie de donner du relief au paysage des églises, de leur donner à chacune une couleur».

Qu'est-ce que cela signifie?   

En plus d'une église «centrale», une église plus vaste (ici, sainte Thérèse) peut devenir «lieu de rassemblement»


«D'abord, à travers les curés et leurs équipes, puis avec les fabriciens, et quand on est d'accord, avec les communes, on s'efforce de donner à chaque église une "coloration". Dans une unité pastorale, ou au niveau d'une commune, on voit quelle est ou quelles sont les églises "centrales", principalement vouées à la célébration du culte. Par commune, où on trouve parfois plusieurs unités pastorales, il y en aura ainsi une ou deux. On invite alors les curés et leurs équipes à célébrer l'eucharistie deux fois par week-end, dans cette ou dans ces églises "centrales", plutôt que de déplacer à chaque fois la messe, d'une semaine à l'autre, dans une église ou dans une autre. Les habitués s'y retrouvent, mais pour les gens un peu moins réguliers, ces déplacements représentent un véritable casse-tête»
.

Parfois, à côté de cette ou de ces églises «centrales», on peut avoir une église «plus grande, qui peut servir de lieu de rassemblement pour toute l'unité pastorale»

Et Éric de Beukelaer de citer en exemple l'unité pastorale de Chaudfontaine et Trooz «où nous avons déterminé deux églises "centrales", l'une à Chaudfontaine et l'autre à Trooz. Mais il y a aussi une très grande église à Vaux-sous-Chèvremont (Ndlr: point d'arrivée, jadis, du pèlerinage annuel des sportifs liégeois), qui elle, sert de lieu de rassemblement pour toute l'unité pastorale, pour certaines messes qui rassemblent énormément de monde, etc.».

Des églises «à haute densité touristique»?

Des églises (ici, saint Laurent à Andrimont) ont un «haut potentiel touristique»

D'autres églises peuvent être définies comme «à haute densité touristique». Comme l'église... de Lantin, citée par le vicaire général.  

«Lantin est beaucoup plus connu par le centre pénitentiaire qui y est installé. Mais la plupart des gens ignorent qu'il y a là aussi une église, qui est un petit bijou d'art baroque. On la qualifierait de merveille, si on la découvrait en Bavière. Il y a, çà et là, des églises remarquables, vers lesquelles on pourrait diriger des groupes de marcheurs, de cyclotouristes, etc. Les communes sont invitées à orienter vers leurs églises mémorables, qu'elles soient anciennes ou plus récentes. Il y a sûrement une réflexion à mener sur ce thème».

Des églises «dédicacées»...

Des églises (ici, saint Jean-Baptiste à Mont) peuvent recevoir une «destination particulière»


Certaines églises, poursuit le vicaire général, peuvent aussi être «réservées à des célébrations particulières: les unes pour les funérailles; les autres pour les messes pour les jeunes, d'autres encore pour les mariages. Je serais assez favorable, à Liège ou dans une ville comme Verviers, à réserver une église proche des grands cimetières à des funérailles. Voire à créer, à proximité, un lieu où les réceptions familiales peuvent organisées»

Plus insolite, l'idée d'une église... «pour urnes funéraires. Aujourd'hui, de plus en plus de personnes se font incinérer. Si les cendres ne sont pas dispersées, on les rassemble dans des colombariums dans les cimetières. C'est joli, mais cela fait un peu... HLM. Or il existe d'autres possibilités, comme on en voit déjà en Allemagne ou en France: dans certaines églises, les bas-côtés sont aménagés pour recevoir des urnes funéraires. Et c'est là que se célèbrent plus particulièrement les messes à la mémoire des défunts».

...ou partagées?

La possibilité existe aussi, rappelle Éric De Beukelaer, «de partager des églises avec d'autres religions chrétiennes». Cet «usage conjoint» est possible. Avec une limite, que «les autres Églises chrétiennes fassent partie du Conseil œcuménique des Églises».

L'usage partagé peut aussi être «multifonctionnel,  en ouvrant des églises peu fréquentées à des activités profanes compatibles».

Des églises (ici, saint Roch) peuvent se voir affecter un «usage partagé»

La question, là, est de savoir ce qui est «compatible» ou non: «il y a tout ce qui est musical, tout ce qui est artistique. Mais on pourrait aussi imaginer des producteurs bios ou des artisans locaux qui viennent vendre leurs produits dans l'église. Voire des "repair cafés" ou un club de 3x20. On peut au besoin mettre le tabernacle à la sacristie pendant ces activités, si cela crée une gêne. Beaucoup de bourgmestres me disent qu'ils ont déjà des infrastructures pour ces activités. Fort bien, mais s'il en manque, pourquoi ne pas y penser?».

Un autre type d'usage «partagé» peut être envisagé pour des églises «dont on constate qu'elles sont trop grandes de manière permanente: il est possible alors d'en détacher une partie pour un autre usage».

À Louveigné, ainsi, le fond de l'église a été cédé aux mouvements de jeunesse, «et cela marche très bien, malgré les craintes exprimées au départ»

Le vicaire général cite aussi un projet... toujours en l'air, «à Jemeppe-sur-Meuse, où on aperçoit le ciel à travers le plafond de la très grande église, à laquelle les Jemeppiens sont fort attachés. À l'époque où Alain Mathot était toujours bourgmestre de Seraing, j'avais un accord verbal: il y avait des travaux à réaliser pour un million d'euros à l'église (ce serait deux... au moins aujourd'hui), et l'idée était d'y installer dans une nef et dans une sacristie, la bibliothèque communale, hébergée dans un château dont il voulait récupérer l'usage. Avec son successeur, nous n'avons pu creuser l'idée. On verra ce qu'il en est avec Mme Géradon, qui vient d'accéder au mayorat»...

La désaffectation, en bout de compte?

«Si aucun de ces projets ne se réalise, il reste la désaffectation, qui n'est pas un tabou, mais qui doit être la dernière solution», conclut Éric De Beukelaer. «Je suis assez "cash" à ce propos: durant des siècles, on a détruit et rebâti des églises. Si on ne voit vraiment pas à quel usage on peut affecter une église, autant la démolir, et construire quelque chose à la place. Mais en pareil cas, je demande toujours qu'on bâtisse une petite chapelle mémorielle, pour que la mémoire du lieu ne s'efface pas».

Détruire ou reconditionner, comme à Maastricht, où une église a été transformée en librairie. À Marche, une église est devenue un hôtel, sans plus de problèmes. «Par contre, à Namur, un magasin de vêtements installé dans une ancienne église a dû fermer. Comme à Binche, la discothèque qui y avait ouvert ses portes», conclut Éric De Beuckelaer. Comme pour confirmer que la désacralisation et la désaffectation ne doivent venir qu'en toute dernière hypothèse. 

«Ne pas toucher aux grandes peurs de la population»

Éric De Beukelaer parle de l'absence de tabou. Pourtant un tabou semble bien réel: des églises ne sont pas désaffectées, par crainte, des autorités politiques ou religieuses, qu'elles ne soient transformées en mosquées.«Je pense que la plupart des musulmans bien insérés chez nous ne le souhaitent pas eux-mêmes», réagit-il. «Parce que cela touche aux grandes peurs de la population».

«Il y a tout de même des demandes, et si on y réfléchit de manière détachée, pourquoi pas, puisque cela resterait un lieu où on loue Dieu», poursuit le vicaire général. «Mais si on fait cela, il risque d'y avoir des "petits malins" de droite dure prêts à ressortir la fumeuse thérorie du "grand remplacement". Des sociologues de l'UCL ont étudié le problème il y a déjà une quinzaine d'années à Charleroi, et leur conclusion était que ce n'était pas une piste à envisager, non pas parce qu'elle n'était pas rationnelle, mais parce qu'elle n'était pas politiquement opportune».


HOMELIE PENTECÔTE 2023

 


Homélie de la Pentecôte : "le délai de 50 jours"

Quand le tonnerre gronde, savez-vous estimer à quelle distance se trouve l’orage de vous ?  Quand j’étais enfant, on m’avait appris à compter les secondes entre l’éclair de la foudre et le grondement du tonnerre qui venait après : « Tu vois, m’avait-on expliqué, il faut du temps pour que le bruit de l’éclair parvienne jusqu’à nous. Entre le moment où le ciel est illuminé par la foudre et celui où tu entends le tonnerre, il y a toujours un délai, qui varie selon la distance. Tu divises le nombre de secondes que tu as comptées par 3, et tu as le nombre de kilomètres qui nous séparent de l’endroit où la foudre est tombée ».

Vous êtes-vous demandé pourquoi il y avait un écart de 50 jours entre Pâques et la Pentecôte ? …tous ces jours qu’on appelle « le temps pascal » ?  

(pour lire la suite, cliquez sur l'onglet "HOMELIES" au-dessus de la page d'accueil)

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Quelques portraits et témoignages de paroissiens de chez nous

(à écouter ou réécouter en audio sur les podcasts de RCF Liège, la radio catholique francophone - suivez les liens en cliquant sur les noms des interviewés)

Tous ces interviews et bien d'autres encore sont à retrouver sur les pages "Podcasts" de RCF Liège :

cliquez sur : "PORTRAITS"  


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Connaissez-vous le "Triduum" (pèlerinage de trois jours + 1/2 ) à Banneux ?

cliquez sur : "TRIDUUM"



EDITORIAL

 

EDITO JUIN 2023 : 

LES CHRETIENS SONT-ILS DES EXTRATERRESTRES ? 

Mai se termine, juin est déjà là (courage, les étudiants !) - Cette saison est celles des communions, des baptêmes, des mariages …et des barbecues qui commencent déjà malgré le temps frisquet cette année. On a fêté l’Ascension et la Pentecôte, bientôt aussi la Trinité et le Saint Sacrement. Le Sacré-Cœur n’est plus loin… Je ne peux pas m’empêcher de remarquer que tout ça est bien loin des préoccupations des gens (oui, ‘les gens’ : nos contemporains, nos voisins, nos familiers…) - sauf peut-être ceux qui profitent des cérémonies religieuses à l’occasion d’un événement personnel ou familial. Et encore, ceux-là sont généralement plus attachés à la forme qu’au fond.

Quel décalage entre nos fêtes liturgiques vécues en cercle presque clos, et, par exemple, les manifestations géantes pour le droit de grève ce lundi (tiens, juste après le ‘pont’ de l’Ascension), ou la Gay Pride à Bruxelles samedi passé, l’engouement des gaimeuses pour le football féminin virtuel, ou encore n’importe quel sujet de société. La politique et le ‘communautaire’ refont également surface avec le retour prochain des élections. L’inflation qui vide le caddie et le frigo de la ménagère est aussi au centre des attentions. Si on ajoute à cela le dérèglement climatique et la guerre en Ukraine, on a vraiment l’impression que l’on est sur une autre planète !

Les chrétiens (cathos et autres) sont-ils vraiment des extraterrestres ? Oui et non. Ils ne sont pas « du monde », comme dit Jésus dans sa prière d’adieu (Jn 17,16), mais ils sont bien « dans le monde », et Jésus ne songe pas à les en retirer ! Ils sont dans le monde, c’est-à-dire qu’ils partagent les préoccupation, les tristesses ou les angoisses de leurs contemporains, mais aussi leurs combats, leurs espoirs et la recherche du bonheur, de la sécurité… Mais ils ne sont pas du monde, cela veut dire qu’ils ne s’alignent pas sur la mentalité ‘‘mondaine’’ dominante ou pensée unique ; ils ont ce recul qui leur vient de la fréquentation de la Parole contenue dans les évangiles, et un angle de réflexion tout particulier, un regard critique qui émerge de la vie en Eglise. Cela nous incite en particulier, à vivre et à nous comporter tantôt en participant activement à la lutte et aux engagements de nos frères non-croyants quand ceux-ci vont dans le sens de la valorisation et la défense de la dignité humaine et du respect de la vie ; tantôt en allant à contre-courant, voire en s’opposant, quand ces valeurs ne sont pas respectées ou sont menacées. Ce n’est pas une position facile, et les chrétiens sont souvent la cible de ceux qui leur reprochent de ne pas suivre le troupeau bêlant – et qui nous croient encore nous-mêmes des ‘‘moutons du Vatican’’, ce qui n’est plus le cas depuis que les cathos ont appris à penser !

Pour réduire le décalage entre une liturgie qui apparaît vue de l’extérieur (ou même parfois de l’intérieur) ‘‘déconnectée’’ ou éthérée, et les interpellations de la vie du monde dans lequel nous sommes immergés et qui demande du sens, j’essaie à mon niveau de faire référence autant que je peux à l’actualité et à la vie concrète des gens. Mais c’est à chacun de nous de faire cet effort pour mettre en relation directe les événements de nos vies personnelles ou celles du monde, et ce qui se vit dans la liturgie en matière d’enseignement, d’offrande, de prière, de partage et de don, avec des sœurs et des frères qui partagent le pain et la vie du Ressuscité. L’Esprit est ainsi appelé et manifesté dans la communion fraternelle, il éclaire nos quêtes et nos combats de femmes et d’hommes avec la Parole évangélique, pour nous renvoyer avec sa Force d’Amour, témoigner dans le monde…  l’Esprit qui parle aussi au cœur du monde : sachons l’écouter !

Bernard Pönsgen, curé

VENONS PRIER LE SACRE-CŒUR DE JESUS LE VENDREDI 16 JUIN 

                                                            LORS DE


LA MESSE EN PLEIN AIR QUI AURA LIEU à 18H à L’ESPLANADE DU MONUMENT AU SACRE-CŒUR : PORTONS NOTRE UNITE PASTORALE ET TOUS SES HABITANTS DANS LE CŒUR DE JESUS ! IL NOUS OUVRE LES BRAS à TOUS…  (apportez votre siège de jardin ou pliant)

 





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Action Vivre EnsembleEntraide & Fraternité et le Beau-Mur

vous invitent au

Cycle

« Le sens au  du changement »

4 rendez-vous

Au Beau-Mur (rue du Beau-Mur, 48 – 4030 Grivegnée)

jeudi 01 juin : projection du film « Soeurs de Combat » et échanges sur l’écoféminisme


« Sœurs de combat ».   Un film parcourant les épisodes de vie de femmes engagées corps et âmes pour le climat, avec au centre du récit l’aventure extraordinaire de Julia « Butterfly » Hill, et son parcours de vie de 2 ans au sommet d’un sequoia pour sauver une parcelle d’une forêt millénaire. 

je vous transmets cette invitation très intéressante et porteuse!!
Comme j'ai l'intention de voir le film, nous pouvons faire du co-voiturage si vous êtes intéressés!!
Bénédictions,
Heike Sonnen    heikesoleil@gmail.com  Fon:  0032- (0)87- 33- 84-60 (répondeur)  

 

fin juin – début juillet (à définir collectivement) : proposition d’arpentage du livre de Julia Butterfly Hill « De sève et de sang »

octobre (date encore à définir) : écoute collective d’un zapping de podcasts « La solastalgie, et le deuil d’un monde »

 jeudi 23 novembre : rencontre avec Laurent Lievens « De la peur à l’amour, comment se remettre à vibrer »

Dans le prolongement du cycle « Des Arbres qui marchent », nous vous invitons à continuer à arpenter la question du sens dans nos actions, dans nos vies, dans un monde qui bascule.

Un accueil convivial est prévu à 19h00 et la soirée débutera à 19h30

Prix libre

Inscription souhaitée auprès d’Emilie : info@beaumur.org - 04/349.01.44


Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la Coopération Belge au développement

Au grand plaisir de s’y retrouver,

 

Jean-Yves, Christophe, Emilie et Natacha   

 

NOUVELLES DE LA COMMUNAUTE – 20-21/05/2023


 ce W-E : 7è dimanche de Pâques

 

Samedi 20 mai :     17h, St Roch

                             18h, St Jean-Baptiste

Dimanche 21 mai :   10h, St Fiacre : Premières Communions en unité pastorale

                             ! Pas de messe à St Laurent !

 

Le W-E prochain : DIMANCHE DE PENTECÔTE

 

Samedi 27 mai :     17h, St Laurent

                             18h, St Jean-Baptiste

Dimanche 28 mai : 9h30, St Fiacre (avec 1ère communion de Serena Dolce) + liturgie enfants

                               10h45, Ste Thérèse (avec 1ère communion de Tessa Hermans)

                            

 

 

Baptêmes :

 

Sont entrés dans la famille de Dieu par le Baptême : ce samedi 20 mai à St Jean-Baptiste,

-     Lyam SENTE, Baptiste RIGGI, Henri BOEMAN KROONEN. Bon chemin chrétien !

 

Décès :

 

Nous avons célébré les funérailles cette semaine :  

-     à St Laurent, de Madame Denise PRICK, épouse de M. Joseph MUNIKEN (+ 83 ans)

     

Nous recommandons à vos prières : 

-     Monsieur Pierre STOFFELS, époux de Karin SCHUMACHER, décédé à l’âge de 66 ans ; les funérailles auront lieu à St Laurent mercredi 24 mai à 10h30.

 

 

COLLECTEs :

 

Ce week-end 20 et 21 mai, c’est la collecte pour les Médias ! Soutenons nos médias chrétiens : le Journal Dimanche, CathoBel, RCF – radio catholique francophone.  Vous pouvez aussi faire un don en ligne ou par virement sur le compte : BE05 7320 2908 3075.


 

à l’agenda :

 

-     Lundi 22 mai : à 11h15 et 13h15, visite de l’église Ste Thérèse par les enfants du cours de religion de l’école « La Court’échelle » avec le curé.

 

-     Mardi 23 mai : 9h, messe à la chapelle de St Fiacre suivie de l’adoration.

                              À 19h30, équipe catéchétique (référents) chez Jean Luc.

 

-     Mercredi 24 mai : 20h, équipe pastorale de l’UP.

 

      Vendredi 26 mai : de 14h à 15h à la chapelle de l’église St Fiacre, Lectio divina (partage biblique sur l’évangile du dimanche suivant). Bienvenue à tous !

 

Bon dimanche !


«Ce week-end, c’est le Dimanche des Médias !»

Cette année, le pape François a choisi le thème « Parler avec le cœur » pour la  57ème journée mondiale des communications sociales.

La mission de communiquer confiée par l’Église ne se limite pas à la mise en avant d’événements ou à la simple diffusion d’informations. Elle vise avant tout à « mettre en commun », à tisser des liens entre les êtres humains, à bâtir des communautés et à se rapprocher de Dieu.

La communication est donc une mission essentielle de l’Église, à laquelle chaque baptisé est appelé à s’engager de tout son cœur. Les médias catholiques sont également pleinement investis dans cette mission, en mettant en lumière la vie de l’Église et en offrant une perspective chrétienne sur l’actualité pour favoriser le dialogue et les liens au sein de nos communautés.

Votre générosité est indispensable pour poursuivre cette mission !
Nous vous invitons donc à soutenir les médias catholiques en faisant un don lors des collectes en paroisses ce week-end. Les fonds récoltés seront reversés à Dimanche, CathoBel et RCF, qui œuvrent chaque jour pour diffuser la parole de l’Evangile et créer des liens. 

Merci du fond du cœur pour votre générosité et votre soutien !